Plaisirs et érotisme

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Chapitre Premier



Les étudiants grouillaient dans les couloirs, discutant de leurs vacances d'été et des petits boulots qu'ils avaient effectués. Léa pénétra dans l'amphithéâtre, chercha des yeux une place et s'assit au milieu des rangées de tables et de sièges. Les vacances terminées, la rentrée universitaire avait lieu et elle ne connaissait absolument personne. Autour d'elle beaucoup de jeunes discutaient et elle se sentit un peu bête de n'avoir personne à qui parler. Au bout d'un long moment un homme élégant, le doyen, pénétra dans l'amphithéâtre, suivit de deux professeurs d'histoire. La rentrée universitaire débutait toujours par un discours de bienvenue du doyen aux nouveaux étudiants.

A présent Léa n'était plus seule. A sa gauche se trouvait un garçon avec une légère calvitie, à sa droite une jolie fille dont le débardeur laissait entrevoir une poitrine souple et rebondie. Le discours du doyen dura assez longtemps, il fit l'éloge de la faculté et de l'équipe enseignante et félicitait les étudiants d'être venus les rejoindre. Les professeurs, à leur tour, prirent la parole et présentèrent le programme de l'année. On fit passer des fiches pour le choix des options. Léa remplit consciencieusement la fiche, soucieuse que son année universitaire se passe bien. Elle avait attendu avec impatience son entrée à l'université, de manière à gagner une certaine autonomie par rapport à sa mère qui se révélait être étouffante. Quand les fiches furent revenues entre les mains des professeurs, on leur annonça que l'emploi du temps serait affiché sur le panneau du département d'Histoire et que les cours débuteraient le lundi suivant.

Certains quittèrent précipitamment l'amphithéâtre, certainement des redoublants qui étaient uniquement venus remplir leur fiche. D'autres traînaient des pieds, comme s'ils quittaient à regret l'amphithéâtre. Léa aurait aimé entamer la conversation avec quelqu'un mais sa timidité naturelle l'en empêchait. Elle craignait qu'on la trouve ridicule. Elle savait que c'était idiot, qu'il y avait certainement des gens qui seraient ravis de discuter avec elle mais elle n'arrivait pas à franchir le pas.

La bibliothèque universitaire était réputée pour la qualité de ses ouvrages. Léa prit la décision de s'y rendre pour la visiter. Les cours et la formation des groupes de travaux dirigés seraient plus propices pour se faire des amis que ce grand couloir où l'on passait inaperçu dans la masse des étudiants. Alors qu'elle se trouvait à quelques mètres de l'entrée de la bibliothèque on l'appela par son prénom. Léa se retourna, ne parvenant pas à cacher la surprise sur son visage. La fille qui l'avait hélée se prénommait Marilyne et avait effectué sa terminale dans le même lycée que Léa. Cependant elles ne se connaissaient pratiquement pas, ayant suivi leurs scolarités dans des classes différentes.
-Je t'ai aperçue dans l'amphithéâtre. Je me trouvais tout en haut. Quand tout le monde est sorti je me suis retrouvée coincée et j'ai bien cru que je ne parviendrai pas à te rattraper. -Je ne savais pas que tu allais en fac d'histoire. Je pensais que j'étais la seule de notre lycée à m'inscrire dans cette filière, dit Léa. -Et non ! Tu allais où comme ça ? -Je pensais visiter la bibliothèque. Il paraît qu'elle est très bien. -Bonne idée ! Je t'accompagne ?

La bibliothèque était conforme aux attentes de Léa : grande, spacieuse, avec des rayonnages impressionnants de livres. Le lieu, quasiment désert, inspirait la solennité. Par les grandes fenêtres les lecteurs pouvaient jouir d'une vue panoramique sur l'esplanade qui se trouvait en amont d'un rond-point. Léa se sentait mieux depuis qu'elle avait rencontré Marilyne : elle n'était plus seule dans cette grande ville qu'elle ne connaissait pas. " Pourvu que l'on se retrouve dans le même groupe de travaux dirigés " pria intérieurement Léa en croisant les doigts.
-Tu connais la ville ? demanda Marilyne à Léa. -Pas du tout. Je me sens un peu perdue, heureusement que mon studio se trouve à proximité de la faculté. -Je pourrai te la faire visiter si tu veux. Mon grand-frère a fait ses études ici lui aussi. Pendant les vacances mes parents et moi venions lui rendre visite, ce qui fait que je connais bien la ville. Tu fais quoi cet après-midi ? -Rien du tout. Je pensais rentrer chez moi ou alors me balader un peu. -Ca te dirait qu'on aille se promener au bord de mer ? Léa réfléchit un instant et accepta. -Attends moi un instant, je vais aux toilettes.

En attendant Marilyne, Léa continua à parcourir les rayons. Elle était fière d'être étudiante et de se retrouver à l'université. Marilyne lui inspirait confiance, elle la trouvait réellement sympathique.

Dans les toilettes, Marilyne ferma le verrou. Elle se laissa aller dos contre la porte, chancelante. Léa, avec sa beauté naïve l'avait littéralement subjuguée. Il n'aurait pas fallu qu'elle reste une seconde de plus à ses côtés car elle n'aurait pas résisté plus longtemps à son désir de l'embrasser et de jouir de ses lèvres délicates. Marilyne déboutonna son jean et baissa son string blanc jusqu'à ses pieds. Elle passa une main délicate sur son intimité parfaitement épilée, tout en pensant à Léa qui l'attendait sagement quelque part dans la bibliothèque. Son sexe s'humidifia doucement, comme un puits de plaisir dont la réserve serait infinie. Le majeur caressa préalablement l'entrée de son vagin avant d'y pénétrer doucement. L'autre main glissa sous son chemisier et flatta ses mamelons à travers le tissu de son soutien gorge. La chasse d'eau du wc voisin ne troubla pas Marilyne, qui aurait aimé se faire surprendre en flagrant délit de masturbation. Mais elle avait fermé le verrou, elle n'avait pas encore assez de culot pour laisser la porte ouverte dans l'espoir de se faire surprendre par un inconnu. Il fallait qu'elle se dépêche, Léa était en train de l'attendre. Marilyne s'assit sur la lunette du wc et urina tout en léchant et suçant le doigt avec lequel elle s'était donné du plaisir. Elle remonta son string sans s'essuyer au préalable. Rapidement, ses doigts frottèrent contre le tissu pour imprégner son string d'urine. Elle aimait souiller ses petites culottes et ses strings.

Marilyne et Léa empruntèrent le bus pour descendre à proximité de la mer. Le soleil de fin d'été brillait fièrement avant l'arrivée de l'automne. Une femme noire, assise à l'avant du bus, tenait un enfant dans ses bras. Des tissus très colorés habillaient son corps à l'africaine.
-Elle doit vivre dans la cité des marronniers, glissa Marilyne à Léa. -Comment le sais-tu ? -Dans cette cité il y a beaucoup de délinquance. Je ne te conseille pas d'y mettre les pieds. C'est assez violent comme quartier. Il fait régulièrement la une des faits divers dans les journaux locaux.

Quand les deux jeunes femmes descendirent du bus Léa éprouva un sentiment de déception. Lorsque Marilyne lui avait proposé d'aller à la mer elle s'était attendue à un endroit plus sauvage. De l'autre côté de la rue il y avait effectivement une plage mais entourée de béton. Un grand mur de pierres permettait à une route de surplomber la plage, ce n'était pas très sécurisant. Et pour couronner le tout, un gros tuyau qui traversait le mur déversait sur le sable un contenu plus que douteux.
-Où vas-tu ? demanda Marilyne quand elle vit Léa se diriger vers la plage. -Ce n'est pas la plage dont tu m'as parlé ? -Malheureuse ! Ne va jamais te promener sur cette plage où te baigner à cet endroit. Regarde le port de plaisance juste en face : les plaisanciers ne se gênent pas pour vider leurs cuves de fuel à moindre frais. En plus, tu as vu les algues vertes ? Berk ! Suis moi.

Sans se faire prier Léa suivit Marilyne. " Quelle étrange fille tout de même " se fit-elle comme réflexion. Marilyne paraissait sûre d'elle et dialoguait facilement, trouvant toujours quelque chose à dire pour maintenir le feu de la conversation ; et ce qu'elle disait n'était jamais hors de propos, tout paraissait censé. En somme, Léa l'enviait un peu, car si elle n'était pas d'une timidité maladive elle n'avait pas non plus le contact facile. Elles traversèrent une succession de parkings. Le goudron présentait un bel aspect et les lignes blanches offraient toutes un aspect virginal avec leur blanc immaculé. Des lignées de pins, plantés sur des bordures, subdivisaient le parking en plusieurs secteurs. Elles arrivèrent devant une pancarte sur laquelle était inscrit : " Sentier côtier ". Le sentier était large et d'autres personnes se promenaient là aussi, principalement des femmes à la retraite accompagnées de leurs caniches ou autres yorkshires. Près du sentier, l'eau claire et limpide de la mer laissait entrevoir un joli sable fin. En s'écartant du rivage, le bleu de la mer devenait rapidement profond et impénétrable. Léa et Marilyne marchèrent, profitant du soleil et des magnifiques paysages. Après une heure de marche, la ville fit de nouveau son apparition et Léa reconnut la plage qui lui avait fait si mauvaise impression.
-Le sentier fait une boucle, expliqua Marilyne. -Tu connais un endroit où je pourrais t'offrir un verre ? -Ca oui ! dit Marilyne avec sa douce et jolie voix.

Elles s'assirent à la terrasse d'un bar appartenant, d'après les rumeurs, à un célèbre navigateur. Un beau serveur, cheveux laqués et en chemise blanche, prit leur commande.
-Je connais une fille qui a couché avec lui, souffla Marilyne à Léa. -Ah bon ? -Oui, d'ailleurs tu la connais, Bérénice Stern, elle était dans notre lycée. -Tu as raison, je vois de qui il s'agit ; d'ailleurs elle ne se prenait pas pour de la merde. -Je ne te le fais pas dire… Toujours est-il qu'elle est venue avec ses amies faire la fête dans ce bar et qu'elle a finit la soirée complètement bourrée. Comme elle est plutôt jolie fille elle a tapé dans l'œil du serveur qui l'a ramenée chez lui et d'après les rumeurs ça a été assez chaud… Une vraie petite cochonne la Bérénice… -Ce ne sont que des rumeurs, tempéra Léa. -En effet, mais comme on dit il n'y a pas de fumée sans feu…

Deux hommes, sortis de nulle part, engagèrent la conversation avec les deux étudiantes :
-Salut ! On peut vous offrir quelque chose ? -Non merci, nous avons déjà ce qu'il faut, répondit Marilyne en désignant du doigt les verres de vodka. -Dans ce cas, nous pouvons seulement nous contenter de vous tenir compagnie, dit le deuxième homme.

Marilyne se décala légèrement sur le banc pour permettre à l'un des deux hommes de s'asseoir auprès d'elle. Imitant Marilyne, Léa bougea aussi. Le premier homme, un brun aux cheveux courts avec un corps d'athlète, prit place à côté de Marilyne. Ses yeux noirs, profonds, presque animal, contrastaient avec ses lèvres délicates. Son compagnon, mince, portait une boucle d'oreille et sa chevelure blonde descendait jusqu'aux épaules. Intérieurement, Marilyne se demanda s'ils avaient uniquement l'intention de faire causette ou d'aller plus loin avec elles. Elle penchait pour la deuxième solution mais il subsistait une interrogation : comment réagirait Léa si on lui proposait une partie de jambes en l'air ?
-Vous êtes étudiantes ? -Oui, le doyen nous a fait un discours aujourd'hui. Nous reprenons les cours lundi, répondit Léa.

Marilyne fut étonnée que Léa prenne la parole, elle s'attendait à devoir faire la conversation toute seule. Léa était-elle moins timide que son attitude le laisser penser ? .
-Vous étudiez quelle matière ? -Nous sommes en histoire, répondit une nouvelle fois Léa, éclipsant presque Marilyne de la conversation. Et vous, vous faites quoi dans la vie ? -Je travaille comme actuaire dans une compagnie d'assurance, dit fièrement le brun qui s'appelait José.

Le blond, Tristan, venait d'obtenir son DESS d'économie gestion et recherchait un emploi.
-Vous êtes des garçons sérieux, on a de la chance de vous avoir rencontrés, plaisanta Marilyne en agitant délicatement son verre vide. -Ce qui serait sympa, ça serait que l'on vous fasse visiter notre appartement, il est remarquablement situé en centre ville. Ensuite on pourra vous ramener chez vous.

Léa et Marilyne prirent place à l'arrière de la BMW de José. Pendant le trajet Léa abandonna le cours de la conversation, préoccupée par ses pensées. Etait-il prudent d'avoir accepté l'invitation de ces deux hommes ? N'aurait-il pas été préférable d'échanger les numéros de portables et de se revoir ultérieurement ? Marilyne, elle, ne semblait se poser aucune question. Elle semblait même " chercher " les deux garçons, s'extasiant devant tout ce qu'ils pouvaient raconter.
-Tu as vu Léa ? Il est vraiment super cet appartement ! s'exclama Marilyne. -Content que ça vous plaise. Mettez vous à l'aise, dit Tristan en désignant un confortable canapé blanc.

Le tissu, merveilleusement doux, éveilla les sens de Marilyne. Elle ne pensait désormais plus qu'à une chose : se faire prendre par ces deux étalons sur ce grand canapé. Assise à côté d'elle, Léa paraissait moins à l'aise. On leur offrit à boire, puis les garçons engagèrent de nouveau la conversation, assis tous deux à distance respectable sur des poufs orange. Puis ils se rapprochèrent, se positionnant de part et d'autre des deux étudiantes.
-Vous êtes vraiment mignonnes.

Tout en prononçant ces mots, José posa une main sur la cuisse de Marilyne. Cette dernière, comprenant que les choses sérieuses allaient commencer, serra délicatement la main de José. Puis elle se laissa aller en arrière en attendant d'être embrassée. Ce qui arriva dans la seconde suivante.

Léa regarda la scène, consternée.
-Je vais y aller, déclara-t-elle en faisant mine de se lever.

Marilyne la retint par la main.
-Tu ne veux pas faire l'amour avec nous ? -Pas vraiment. Laissez-moi partir. -Tu es vierge ? demanda Tristan, incrédule.

Léa se sentit monter le rouge aux joues.
-Non, je ne suis pas vierge. Mais faire l'amour à plusieurs ne m'intéresse pas. -Pourquoi ? Tu as déjà essayé ? -Non. -Dans la vie il faut goûter à tout pour savoir si on aime ou pas, préconisa Marilyne en terminant sa phrase par un joli sourire. Regarde comment j'ai appris à aimer le sexe.

Sur ces paroles elle s'agenouilla devant José et l'aida à baisser son pantalon. Un gros sexe en érection jaillit du boxer. Entre ses doigts Marilyne en saisit la base et lécha la verge du bout de la langue, provoquant des frissons de plaisir à José. Tristan, ne souhaitant pas rester un simple spectateur, enlaça Léa par derrière et posa ses mains sur une poitrine ferme et ronde. La bienséance aurait voulu qu'elle s'en aille, une jeune femme n'ayant pas à se laisser posséder comme une simple prostituée. Mais en réalité, derrière la frontière de la moralité bien pensante, Léa prit conscience que ce qu'elle désirait vraiment, c'était baiser avec Marilyne, Tristan et José.

Elle fit volte-face et embrassa Tristan, ravi de constater ce revirement de situation. Il baisa son front, son cou, caressa les beaux cheveux châtains. Ils s'allongèrent sur le canapé pendant que Marilyne suçait José. Le soutien gorge de Léa libéra une poitrine ferme avec de larges aréoles ; quand il baissa le mini slip blanc, Tristan ne put retenir une exclamation de surprise : une chatte poilue s'offrait à lui. .
-Je pensais que toutes les filles s'épilaient le pubis de nos jours. -Ben tu vois bien que non, allez, lèche moi sale porc ! ordonna Léa sur un ton sec qui surprit tout le monde. Je suis sûr que ça t'excite tous ces poils !

Tristan obéit, heureux de constater que la sage Léa venait de se transformer en femme avide de plaisir. Il embrassa les jolis petits pieds, tout en caressant les genoux et remonta ainsi jusqu'à la cavité chaude et humide du vagin. Ses bras passèrent sous les cuisses dans le but de caresser le ventre et les flancs. Sa langue passa à plusieurs reprises sur le joli sexe poilu sans chercher à atteindre le clitoris. La mouille était délicieuse et avec le plaisir le sexe de Léa s'épanouit complètement. Tristan se déshabilla et pénétra Léa. Dans un mouvement souple et régulier du bassin, le pénis durcit à l'extrême, accélérant le rythme par moments, Tristan chercha à donner le maximum de sensations à Léa qui lui caressait le dos avec ses petits doigts habiles. En même temps, le partenaire de Léa contemplait la croupe de Marilyne offerte à son ami, concentré sur sa besogne et jouissant de se perdre dans un joli petit cul. Tristan tendit le cou jusqu'à toucher les lèvres de Marilyne, qui le gratifia d'un baiser langoureux et passionné. Délaissant Léa, et avec l'approbation de José qui lui céda la place, il sodomisa Marilyne qui apparemment souhaitait se faire prendre uniquement comme une chienne. Ecartelé par le sexe imposant de José, l'anus de cette dernière n'opposa aucune résistance à la pression de celui de Tristan. Elle soupirait, haletait, se dandinait de manière à être prise le plus profondément possible, transpirant et fermant les yeux de plaisir. L'accouplement de son corps avec celui de Tristan était magnifique, symbiose parfaite de deux êtres à la recherche de l'orgasme. .

Entre temps, Léa s'agenouilla devant José. Jamais elle n'avait vu un sexe de cette taille. La longueur devait avoisiner les vingt centimètres et la circonférence relevait de l'extraordinaire. " Déchire moi le cul avec ta grosse trique ! Soumets moi à ton plaisir " eut elle envie de crier. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, elle d'ordinaire si réservée au lit. L'effet Marilyne sans aucun doute. Voir les fesses de sa nouvelle amie pilonnées par la queue turgescente de José l'avait libérée. Marilyne aimait le sexe et ne se privait pas quand une occasion se présentait. Si elle avait été seule, Léa serait partie en courant si Tristan et José lui avaient proposé de les suivre chez eux.

Des grosses veines saillantes parcouraient le pénis de José. Une bouche avide se referma dessus et Léa commença à sucer de la manière la plus provocante possible. José prenait son pied et ne le cachait pas. Entre ses mains il tenait les cheveux de Léa afin qu'elle puisse accomplir sa tâche sans aucune gêne et l'obliger de temps à autre à avaler sa hampe au plus profond de sa gorge. " Oh oui ! Oh oui !Haannn… ! " criait et gémissait Marilyne, allongée sur l'épais tapis, les reins calés sur un coussin afin d'offrir pleinement et sans entrave sa chatte à la langue et aux lèvres de Tristan. De la chatte de cette dernière s'échappait une mouille épaisse et chaude qu'il prenait un plaisir fou à lécher. Sans qu'elle s'y attende il la pénétra de toute la longueur de son membre et le cri qu'elle poussa ne laissait aucun doute sur l'effet produit : elle venait d'atteindre le septième ciel.

Léa, qui léchait les testicules de José tout en le masturbant s'émerveilla devant la jouissance de son amie. José s'échappa des bienfaits qu'elle lui prodiguait et la pénétra en levrette. Jamais encore un énorme sexe comme celui de José n'avait pénétré sa petite chatte d'ingénue. Prisonnière des mains de son amant parfaitement collées sur ses hanches, elle se laissa aller aux allées et venues du pénis rugueux comme l'écorce d'un arbre. José introduisit profondément sa verge au plus profond du vagin comme un chevalier rengaine son épée dans son fourreau, permettant à Léa, merveilleusement cambrée, les yeux fermés et les coudes bien à plat, d'accéder au paroxysme d'un plaisir sexuel qu'elle n'avait encore jamais atteint. Léa était loin d'être la première fille que José fourrait, mais la contemplation de son corps et son air de petite fille gâtée lui plaisait énormément.

Tristan explosa de plaisir entre les cuisses de Marilyne, éjaculant longuement en plusieurs saccades dans le vagin de la jeune étudiante. Il resta un moment allongé sur elle, l'esprit totalement apaisé, en proie à la divine grâce de l'orgasme passé. Les caresses de Marilyne, effleurant du bout des doigts les parties sensibles de son dos décuplèrent encore la magie de l'instant.
-Reste allongée ! dit-il à Marilyne. On va faire lécher ta chatte remplie de sperme à ta copine.

Léa resta incrédule, comme si elle avait mal compris ce qui venait d'être dit, tandis que José prenait position sur Marilyne, enchantée de se faire prendre de nouveau immédiatement après avoir joui. Léa vit la grosse queue de José s'engouffrer dans la chatte gorgée de sperme et regarda, assise sur les genoux, le fessier musclé aller et venir entre les cuisses de sa copine. Tristan s'approcha d'elle :
-Quand José aura joui, tu feras un cunnilingus à ta copine. -Mais c'est dégoûtant ! s'exclama Léa. -Quand je t'ai léché la chatte tout à l'heure tu ne trouvais pas ça dégoûtant. -Oui, mais personne n'avait éjaculé dans mon vagin. -C'est le sperme qui te rebute ? Tu n'as jamais avalé le sperme après avoir fait une fellation ? -Non, jamais.

José se redressa et sans la permission de Léa lui introduisit son pénis dans la bouche. Le sexe, recouvert d'un mélange de sperme et de mouille, fut léché et sucé consciencieusement par Léa sous le regard de ses partenaires. Ensuite elle fut escortée par les deux hommes jusque devant Marilyne. De l'ouverture béante du vagin s'écoulait des filets de sperme. Léa eut un léger mouvement de recul mais elle se ressaisit. Une impression étrange comprimait sa poitrine, une sensation comparable à ce que l'on éprouve lorsque l'on a peur ou que l'on est angoissé. " Je n'ai pas envie de faire ça ! " se disait-elle mais une petite voix, dans son esprit, qui prenait de plus en plus d'importance susurrait : " Vas-y ! Lèche la chatte de Marilyne, tu vas aimer ça… " Prenant le parti de suivre l'avis de cette partie d'elle-même qu'elle ne soupçonnait pas, elle commença à lécher le pourtour du vagin. Sa langue rencontra le même nectar qui avait été déposé sur le pénis de José. Sous les délicieux passages de sa langue Marilyne se tortilla, émettant par moment de légers soupirs de plaisir. " Cette fille est insatiable… Elle s'est fait prendre par tous les trous et elle a encore envie de prendre son pied ! " pensa Léa. Tristan et José suivaient de près le déroulement des opérations, prodiguant aux deux jeunes femmes mille caresses. Les chairs intimes de Marilyne étaient assez développées, offrant des plis à saisir entre les lèvres, à titiller avec la langue et à mordiller avec les dents. Léa lécha de haut en bas la vulve, d'où un minuscule ruisseau de sperme s'échappait. Elle garda un moment le liquide blanc en bouche, pour en savourer le goût avant de l'avaler. Puis elle se remit à sucer et lécher, encouragée par des doigts qui pénétraient sa chatte où flattaient son anus. Léa plaqua sa langue contre l'orifice et fourra sa langue à l'intérieur. Elle la fit tourner comme si elle embrassait, effleurant les parois vaginales. Quand le sperme eut cessé de s'écouler, Léa porta uniquement son attention sur le clitoris. Marilyne bougea son bassin de plus en plus rapidement, des spasmes de plaisir parcoururent son corps et son visage, yeux fermés et bouche entrouverte, indiquait l'arrivée d'un orgasme cataclysmique. Des murmures s'échappèrent de ses lèvres et José lui tenait la main pour l'accompagner dans son plaisir. Léa n'arrêta plus sa langue qui effleurait dans tous les sens le clitoris enduit de salive. Les spasmes de Marilyne furent de plus en plus rapprochés et les râles de plaisir de plus en plus fort. Au paroxysme de l'orgasme, son corps s'arc bouta et elle poussa un petit cri très agréable, avant de reposer sa tête sur les genoux de José.



Chapitre II



Quand elle se leva, la première action de Léa fut de se glisser sous la douche. Ne prenant pas le soin d'attendre l'eau chaude, elle aspergea son corps d'eau froide. La fraîcheur de l'eau acheva de la réveiller et ses tétons durcirent presque instantanément. Machinalement elle porta un doigt à la hauteur de ses seins et caressa les mamelons. Un éclair de culpabilité traversa son esprit et elle arrêta aussitôt la promenade sensuelle de son doigt. " Tu es à peine réveillée que tu penses déjà au sexe, tu n'es vraiment qu'une sale obsédée " s'accusa-t-elle. Léa se savonna avec insistance, comme pour donner une nouvelle virginité à son corps, lâchement abandonné à la luxure la veille. Elle s'attarda particulièrement sur les plis intimes de son entrejambe, lieu de tous les vices. " Je ne suis qu'une salope, j'ai baisé comme une putain"

Après s'être séchée Léa réussit à reprendre ses esprits et à chasser les souvenirs de la soirée passée. La cafetière se remplissait. Léa s'habilla sobrement, enfilant un pantalon de velours et une chemise en soie. Dans un coin de la pièce, deux cartons attendaient d'être déballés. Ses parents l'avaient aidée à emménager et il lui restait encore un peu de ménage à faire. Elle regardait d'un œil distrait la télévision quand son téléphone portable sonna. Après quelques brefs échanges de paroles Marilyne demanda si elle pouvait venir. Léa lui donna l'adresse.
-Tu as passé une bonne nuit ? demanda Marilyne. -Oui, j'ai assez bien dormi. Mais je ne crois pas avoir rêvé. -Moi non plus je n'ai pas rêvé. Par contre je n'ai pas arrêtée de penser à la grosse bite de José. C'est une des plus grosses bites que j'ai vu. D'ailleurs je sens toujours mon trou du cul.

Marilyne joignit le geste à la parole en posant une main sur ses fesses. Elle poursuivit :
-Quand j'ai senti son gland contre ma rondelle, je savais que ça allait être bon. Il a eu un peu de mal à me pénétrer mais une fois le gland passé le reste de la verge a suivi sans problème. Toute la longueur de son membre m'a pénétrée, c'était royal.

Léa baissa la tête en écoutant Marilyne, qui lui demanda naïvement :
-Ca ne va pas ? -Je n'ai pas vécu les choses aussi bien que toi. Si tu n'avais pas été là, je n'aurais jamais suivi ces deux garçons. Dans le feu de l'action j'ai pris mon pied, je dois bien l'avouer. Mais à présent je regrette, j'ai la sensation de n'être qu'une salope. -Tu penses que c'est de ma faute ce qui s'est passé ? -Non, ce n'est pas de ta faute. Je suis majeure, à mon âge il faut que je sache m'occuper de moi.

Marilyne se rapprocha de Léa et posa une main compatissante et réconfortante sur son avant bras.
-Tu n'as pas à avoir honte de ce qui s'est passé. Tu avoues avoir pris ton pied. Mais tu te tortures parce qu'on t'a enseigné que le plaisir sexuel c'était mal. -C'est le fait d'avoir fait l'amour à plusieurs qui me trouble. -Il ne faut pas. Faire l'amour à deux, trois, quatre ou dix c'est la même chose, l'important c'est d'avoir du plaisir. Même dans la honte.

Cette dernière phrase troubla Léa. " Avoir du plaisir. Même dans la honte " Mais elle garda son trouble pour elle. Du reste elle se sentait mieux. Discuter avec Marilyne était agréable, elle était vraiment sympa. Même si tout dans ses propos paraissait toujours devoir d'une manière ou d'une autre se reporter au sexe.
-Tu ne t'es jamais épilée la chatte ? -Euh… Non, répondit Léa. Mes petits amis m'ont déjà demandé à ce que je m'épile mais j'ai toujours refusé.

Elle marqua une pause avant de poursuivre :
-A toi je peux le dire, je ne me suis jamais épilée parce que ça m'excite d'avoir une chatte poilue et quand je fais l'amour j'aime voir le pénis s'enfoncer entre les poils. -Tu es vraiment une sale petite cochonne ! s'exclama Marilyne.

Cette dernière se leva et sortit de son sac un rasoir et de la mousse à raser.
-Regarde ce que j'ai amené !

Léa n'en croyait pas ses yeux.
-J'aimerais t'épiler le minou, ça te permettrait d'augmenter tes sensations quand tu te fais baiser.

Léa sentit son bas ventre tout chaud à l'idée de se faire raser par Marilyne.

Allongée sur une serviette dépliée sur le lit, Léa ferma les yeux quand Marilyne étala sur son pubis la mousse à raser. Auparavant elle avait dégrossi le travail en coupant aux ciseaux une partie des poils. Le contact des doigts de sa copine contre sa peau excita Léa. Marilyne était vraiment belle et possédait un charme fou. Rien n'y personne ne semblait pouvoir lui résister. En quelque sorte, elle était magnétique. Elle passa une première fois le rasoir sur les poils et le rinça dans une petite bassine d'eau chaude. Tout dur, les tétons de Léa n'attendaient qu'une chose : être caressés et sucés. Léa souhaitait se promulguer les caresses salvatrices mais comment réagirait Marilyne ?
-Généralement je m'épile toute seule et je demande à l'esthéticienne de s'occuper des poils que j'ai au niveau du cul. Parfois je fais ça entre copines. -Entre copines ? -Ben oui. Comme ça après on a la chatte bien rasée et nous sommes prêtes pour nous faire des petites gâteries entre nous, expliqua Marilyne avec un clin d'œil.

Léa commença à se caresser les tétons. Ils étaient très sensibles et elle ne put s'empêcher de pousser des petits soupirs. Marilyne, du bout de la langue, excita encore plus un des tétons. Les yeux fermés, Léa continuait à s'occuper de l'autre.
-J'aime bien tes nichons, ils ont de larges aréoles, ça m'excite, souffla Marilyne avant de se remettre à sucer et lécher.

Elle pinçait délicatement entre ses lèvres les mamelons, en les flattant du bout de la langue à l'intérieur de sa bouche. Dans l'appartement voisin, des soupirs de plaisirs se firent entendre, de plus en plus fort. Pendant l'orgasme la femme poussa un cri et le silence retomba. Les deux étudiantes se regardèrent, passablement amusées. Marilyne continua à raser le sexe de Léa.
-Tu les as déjà entendu baiser ? -Non, c'est la première fois. En tout cas elle n'est pas coincée, elle ne se gêne pas pour jouir même si tout le monde peut l'entendre. -Elle a bien raison. Tu les as déjà croisé ? -Oui, c'est un jeune couple. Le type a une tête de con mais sa copine est plutôt jolie fille.

Quand elle eut finit de raser, Marilyne appliqua une crème pour éviter une inflammation. De nouveau, les râles de la femme traversèrent les murs.
-Et si on allait baiser avec eux ? suggéra Marilyne. -Ca va pas ! Tu es complètement folle !

Piquée au vif Marilyne quitta l'appartement et frappa à la porte voisine. On entendit plus rien. La femme avait arrêté de gémir. Mais personne ne vint ouvrir. Marilyne frappa de nouveau.
-Mais arrête tu es folle ! supplia Léa qui avait pris le temps d'enfiler un string vert orné d'un symbole indien.

Elle se trouvait entre son appartement et le couloir, la poitrine à l'air. La porte s'ouvrit sur le voisin, un type proche de la trentaine avec une barbe de trois jours. Léa avait raison, il avait une tête de con, une chaîne autour du cou et le crâne complètement rasé.
-Qu'est-ce que vous voulez ? demanda-t-il sur un ton pas aimable. -On vous a entendu baiser et on se demandait si vous étiez d'accord pour qu'on se joigne à vous?

Une drôle d'expression apparût sur le visage du type qui n'en croyait pas ses oreilles. Puis il aperçut Léa, à moitié à poil. Comme la veille, celle-ci, d'abord contre l'idée de baiser à plusieurs se sentit brusquement excitée. Elle sortit sur le palier et se posta devant son voisin. Il la détailla de haut en bas, s'attardant un moment sur les larges aréoles et les gros tétons de sa voisine. Une jeune femme, simplement vêtue d'un string et d'un t-shirt apparut derrière l'homme. Elle demanda se qui se passait et resta incrédule quand elle aperçut Léa. Son homme lui expliqua la situation et elle dit : " Pourquoi pas, fais les entrer ".
-Mettez-vous toutes les trois à quatre pattes, les une à côté des autres.

Les filles obéirent, offrant dans cette position le spectacle de leur postérieur au voisin. Il leur révéla son prénom : Thomas. Léa, à quatre pattes, observa l'appartement. Des drapeaux décoraient les murs : l'Union Jack, le Stars and Stripes ainsi que le drapeau australien. La moquette était à peu près propre mais un sacré bordel trônait sur les étagères. Des mégots débordaient de plusieurs cendriers. Une odeur de tabac froid régnait dans la pièce.
-Vous deux, vous êtes vraiment des salopes. Ma copine est une vraie pute mais vous vous dépassez encore tout ce que j'ai pu voir. Vous présenter comme ça, à moitié à poil chez les gens pour vous faire baiser. Je trouve ça inouï. Je ne sais pas ce qu'ont foutu vos parents mais moi je vais vous éduquer, vous pouvez compter là-dessus.

Il s'approcha de Léa et commencer à lui caresser la croupe. Les doigts passèrent dans la raie du cul, touchèrent l'anus, flattèrent la vulve et s'attardèrent sur le mont de Vénus. " Marilyne avait raison, l'épilation a multiplié mes sensations " songea Léa. Son voisin la caressa encore un peu avant de lui administrer une fessée, mais pas trop forte. Léa poussa quand même un cri de surprise.
-Ne bouge pas ou je t'attache, grommela Thomas.

Léa ne souffla mot, il avait l'air sérieux. Il abattit de nouveau sa main, sans s'arrêter cette fois. Les claques se succédaient sur le cul de Léa. L'intensité des coups n'était pas insoutenable mais la répétition des fessées provoquait une sensation douloureuse. Léa sentit son cul rougir, elle eut soudain très chaud. Les mains de Thomas, calleuses, semblaient rompues à cet exercice. Sans bouger, Léa tortillait les fesses dans l'espoir de diminuer un peu la surface de contact avec la main. Cependant Thomas savait y faire et Léa ne gagna rien en se tortillant. Au bout d'un long moment il s'arrêta. On l'entendit souffler, pendant qu'il regardait le résultat.
-T'as le cul bien rouge, petite salope.

Puis il fessa Marilyne, qui trouva délicieux de recevoir le même châtiment que sa copine, et enfin sa compagne qui avait déjà été fessée le matin même. Thomas se plaça devant les trois femmes et ôta son polo ainsi que son pantalon de survêtement. Il était en érection. Léa observa attentivement le pénis dressé. Elle n'en avait jamais vu de pareil. Pas très longue, assez épaisse et rougeaude, cette bite ne l'attirait pas. Son voisin s'agenouilla devant Marilyne et lui plaça la bite dans la bouche. Marilyne s'activa, désireuse de montrer qu'elle était une bonne suceuse. Elle aspira sur le gland, lécha à petits coups de langue le méat, avant d'avaler la bite dans sa bouche. " C'est vraiment une suceuse de première " pensa Léa. La copine du type flatta les testicules et les pressa légèrement dans sa paume.
-Hm, c'est bon… s'exclama-t-il, les lèvres plissées d'une drôle de façon par le plaisir.

Thomas se releva et se plaça de nouveau derrière sa voisine. Léa sentit des mains écarter ses fesses. Il resta agenouillé, admirant dans les moindres détails son anus.
-Tu as vraiment une jolie petite rondelle…

Il pressa un gros doigt contre l'anus mais ne força pas le passage. Il massa délicatement la rondelle, effectuant d'agréables mouvements circulaires. Un peu crispée, Léa se détendit complètement avec les caresses. Elle trouvait cela délicieux. Détendue, elle sentit son sphincter se relâcher. Le doigt quitta le fion, avant de revenir, tout humide. La salive rendit le contact entre l'anus et le doigt encore plus agréable. Quand elle s'y attendit le moins, il lui enfonça entièrement l'index dans le fion. Que c'était bon ! Thomas revint à la charge, mais avec la langue cette fois. C'était encore meilleur. Il la pressait contre l'anus, léchait à grands coups de langue, de temps à autre enfonçait un doigt… La mouille perla sur la vulve de Léa, elle se sentit humide de plaisir. Ce détail n'échappa pas à son voisin qui passa une main sur la fente et enfonça le majeur dans le vagin. Une fois ressortit, le doigt était plein de mouille. Il le suça avec délectation et fut satisfait du goût.
-T'es vraiment une bonne petite voisine…

Il revint à la charge avec sa langue puis Léa eut la sensation que quelque chose se préparait. Les mains du type se calèrent sur ses hanches et sa pine se pressa contre son cul. Aidée par la salive, la bite pénétra sans difficulté. Ce ne fut pas douloureux et Léa trouva extraordinaire d'avoir le cul rempli. Thomas commença à aller et venir, alternant les mouvements et les cadences. A ses côtés, Marilyne et l'autre nana attendaient sagement qu'on veuille bien s'occuper d'elles.

José. La grosse bite à José. Pendant que la bite de Thomas lui limait le trou du cul, les pensées de Léa furent pour José. Avec son énorme sexe, ce serait sans aucun doute formidable de se faire sodomiser. Dans sa poitrine se diffusa une sensation d'extase, jamais elle n'aurait crut que la sodomie put donner autant de plaisir. Les testicules battaient la mesure à chaque oscillation du bassin de Thomas et venaient gentiment claquer contre la chatte humide. La sensation des ces couilles poilus contre sa chatte bien épilée faisait frissonner Léa, elle trouvait ça très agréable. Thomas haletait et soupirait de bonheur. Il était au bord de l'orgasme. Sans crier gare, il lui arrivait de donner une grosse claque sur le cul de Marilyne, qui poussait alors un petit cri de surprise. " Tu geins comme une conasse, mais tu aimes ça, tu aimes ça… " lui disait-il alors. Sur les fesses de Marilyne, rouges, s'inscrivaient les traces des doigts, parfaitement visibles.
-Je viens, je viens… Je vais gicler dans ton cul. Tu attends ça avec impatience hein ? -Oh oui… Hmm… glapit Léa.

La main de Marilyne se posa sur la sienne, leurs doigts s'entremêlèrent. Elle avait envie de partager avec Léa l'orgasme de Thomas. Quand ce dernier éjacula, un flot de sperme trouva refuge dans les entrailles de Léa. Elle cambra parfaitement ses reins, pour être bien pénétrée à fond tandis qu'elle exerçait une pression sur les doigts de son amie pour lui signifier qu'elle venait d'être saillie. Malgré l'éjaculation, Thomas continua encore un peu la sodomie. Une coulée de sperme déborda de l'anus. Thomas se retira et étala le sperme du plat de la main sur la peau de Léa, juste en dessous de la fesse gauche, tout en haut de la cuisse.
-J'en ai marre de rester comme ça, pesta Marilyne, prête à se relever. -Salope ! cria le voisin. Tu viens chez moi faire la pute et après t'es pas contente ? Non mais je rêve là !

Il l'obligea à se remettre à quatre pattes, lui passa un bras sous la taille pour l'immobiliser et lui donna de nouveau une série de fessées, plus intenses que les précédentes. Marilyne s'époumona à crier grâce, s'excusa de ne pas avoir obéi mais Thomas fut intransigeant et mena la punition à son terme. Marilyne avait le cul en feu et était au bord des larmes. Intérieurement, Léa exultait de voir sa copine punie. " Ca lui apprendra à frapper à la porte des gens pour baiser. Mais ce n'est pas très sympa de ma part de prendre mon pied en la voyant souffrir " songea-t-elle.

Thomas revint à Léa et lui enfonça sans difficulté un doigt dans le cul, son anus était parfaitement dilaté. Elle sentait le doigt s'agiter en elle, marquer des temps de pause, puis recommencer son exploration. Les doigts pleins de sperme, il se dirigea vers sa compagne qui devait commencer à trouver le temps long et lui fourra les doigts dans la bouche. Elle ne broncha pas et suça les doigts, soucieuse de bien se repaître du sperme de son mec. Au sperme se mélangeait une très légère odeur fécale, qui l'excita encore plus. Elle s'appelait Corinne.

Son mec se laissa choir dans le canapé et exhorta Léa à venir prendre place sur ses genoux. Docilement elle s'approcha et prit l'initiative de rouler un patin à Thomas. Il se laissa faire, tout en la pelotant et en lui pinçant le bout des mamelons.
-Vous deux, jouissez comme vous voulez, je vous laisse carte blanche.

Marilyne se laissa rouler sur le dos, elle en avait ras le bol de rester à quatre pattes. Elle était restée dans cette position par obéissance, souhaitant jouer le jeu jusqu'au bout. La récompense était là : elle pouvait faire l'amour comme elle l'entendait avec la copine de Thomas. Corinne s'approcha, l'embrassa du bout des lèvres et accentua la vigueur de son baiser sur la fin. Elles se léchèrent mutuellement les seins. Les tétons de Corinne, imposants et de couleur marron foncée, furent sucés avec dévotion. Marilyne baisa son ventre avant de passer sa langue dans les plis épais de la chatte de Corinne. Les petites lèvres formaient des corolles larges et épaisses, très sombres, de couleur presque noires. La mouille suintait du vagin, fin prêt à recevoir une grosse queue. Ce fut la langue de Marilyne qui le pénétra et Corinne ne sembla pas s'en plaindre. Avec ses doigts Marilyne libéra un gros clitoris de son capuchon. Sa langue passa dessus, doucement, avec des intervalles assez longs. A chaque passage un mouvement du bassin échappait à Corinne. La langue se fit plus agressive, agitée malicieusement dans tous les sens par Marilyne. Les halètements, forts, permettaient d'ores et déjà de prévoir l'ampleur de l'orgasme de Corinne. Elle gémissait à chaque coup de langue, les yeux fermés et la bouche tendue par le plaisir ; la mouille abondante ruisselait sur la langue de Marilyne qui de temps en temps se chatouillait l'anus. " Hmm… Haannn… Oui… Hmm… " murmurait Corinne en appuyant sur la tête de Marilyne pour être certaine qu'elle n'allait pas brusquement se désintéresser de sa chatte. Harcelée par la langue fine et agile, le clitoris mit au supplice, Corinne jouit plusieurs fois de suite, bruyamment et avec des spasmes de jouissance désordonnés. Au moment de l'orgasme le plus fort un flot de cyprine gicla et Marilyne se dépêcha de tout lécher. Elle embrassa Corinne et s'assit à proximité de Léa et Thomas, toujours en train de se peloter dans le canapé.
-Elle a joui à fond ! dit Léa. -Avec elle c'est toujours comme ça, elle crie toujours au moment de l'orgasme. J'aime l'entendre jouir, ça m'excite beaucoup, expliqua Thomas.

Léa jeta un coup d'œil à son entrejambe : son pénis était dressé comme l'obélisque au milieu de la place de la concorde.
-Tu risques de nous entendre souvent, ajouta-t-il. Si tu te sens seule parfois n'hésite pas à venir nous voir. -D'accord, je m'en souviendrai.

Corinne n'avait pas bougé depuis son orgasme. Couchée sur le côté, elle fermait les yeux et donnait l'impression de dormir à même la moquette. Entre ses jambes on apercevait le renflement de son sexe. Les deux étudiantes se rhabillèrent (Léa n'eut qu'à enfiler son string) et saluèrent Thomas (qui se contenta de leur adresser un petit geste d'au revoir) avant de rejoindre l'appartement de Léa.


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Dim 26 mar 2006 Aucun commentaire